- Et le soir du vol à la Galerie Dalembert, où étiez-vous ?

- Eh bien j'y étais, figurez-vous !

Invité à la réception privée donnée par le directeur, il avait voulu y assister pour voir une nouvelle fois à l'œuvre le voleur de son Notarangeli. Mais il confessa ne pas savoir comment ce vaurien avait procédé pour subtiliser la Jonque sur le Fleuve Jaune. Les lumières s'étaient éteintes un instant, un instant suffisant au voleur pour décrocher le tableau et disparaître.

- Il devait certainement y avoir une trappe d'aération au plafond, pour lui permettre de s'enfuir, diagnostiqua-t-il. Il est sans doute ensuite passé par le toit.

- Vous n'avez pas bougé ?

- Non, je suis resté dans la salle. Plusieurs témoins vous le confirmeront, si vous tenez à le vérifier.


Si vous êtes un jour ultérieur au 21 avril, rendez-vous au 678.

Si c'était déjà la deuxième question que vous lui posiez, rendez-vous au 633.

Sinon, lui demandez-vous :

Qui, d'après lui, aurait intérêt à voler les toiles de Notarangeli ? (rendez-vous au 1075)

Pourquoi il gardait une peinture de Notarangeli l'assassin de sa femme ? (rendez-vous au 86)

S'il s'entend bien avec les filles Notarangeli ? (rendez-vous au 707)

Comment le voleur peut s'y prendre pour voler les ombres ? (rendez-vous au 191)

Si vous connaissez le nom de son assistante, vous pouvez lui en parler, au 215.