Avant de partir, vous lui lançâtes :
- Un dénommé Jean-Marc Vivand a été retrouvé mort, poignardé. Vous ne le connaîtriez pas, par hasard ?
Il fronça les sourcils avec suspicion :
- Non
pourquoi ?
- Vous avez l'air tendu, d'un coup, on dirait.
- Je sens que vous allez encore m'accuser d'un truc avec lequel je n'ai rien à voir.
Cardoze vous avait dit que le décès remontait peu de temps après votre visite chez le faussaire. Vous demandâtes à Ducult où il se trouvait ce jour-là.
- Ouh la, comment m'en souviendrais-je ? Je devais être ici à la maison. Ou bien j'étais allé faire une course pas loin.
Il ne vous en dirait pas plus. À sa réaction, vous auriez juré que le nom du faussaire lui était familier. Était-ce l'une de ses connaissances de malfrat ? De toutes manières, il ne vous l'avouerait pas.
Si vous avez le mot-code SOSABA, rendez-vous au 832.
Sinon, vous partiez pour de bon ; au 77 si c'était la première fois que vous veniez chez lui ou si vous êtes le 3 mai, au 709 sinon.