Avant de partir, vous lui lançâtes :
- La police est à la recherche d'un dénommé Jean-Marc Vivand. Vous ne le connaîtriez pas, par hasard ?
Il fronça les sourcils avec suspicion :
- Non
pourquoi ?
- Vous avez l'air tendu, d'un coup, on dirait.
- Non, pas du tout !
À sa réaction, vous auriez juré que le nom du faussaire lui était familier. Était-ce l'une de ses connaissances de malfrat ? De toutes manières, il ne vous l'avouerait pas.
Si vous avez le mot-code SOSABA, rendez-vous au 832.
Sinon, vous partîtes pour de bon ; au 77 si c'était la première fois que vous veniez chez lui, au 709 sinon.