Le Lion Blanc convoité ce soir était cerné de monde, il était difficile de s'en approcher. Vous quittâtes la salle tandis que les convives se mettaient à danser sur la mélodie de l'orchestre. Les couloirs de la villa étaient truffés d'agents de sécurité et de policiers, dont Châtaing, que vous aperçûtes de loin. Dehors, dans les jardins, l'air était frais et agréable. Vous repérâtes plusieurs caméras de surveillance. Votre adversaire allait-il voler les ombres de la nuit pour pouvoir atteindre la maison ? Il y avait des vigiles près de chaque fenêtre. À l'intérieur, l'orchestre avait terminé. Vous sentîtes soudain quelque chose dans la poche de votre veste. Un bout de papier plié. Qui l'avait mis là ? Et quand ? Vous l'ouvrîtes et lûtes :
"Je suis là, Jacket !"
Vous vous figeâtes soudain : le Voleur d'Ombres était déjà là ! C'était lui qui vous avait mis ce mot et qui vous narguait ! À quel moment le coquin avait-il donc bien pu glisser ce billet dans votre poche ? Une chose était sûre : il n'avait pu le faire que dans la salle de réception, quand vous étiez au milieu des gens.
Vous retournâtes à toute allure dans la salle quand, tout à coup, plusieurs explosions retentirent ! Quand vous y fîtes irruption, une immense et épaisse fumée avait envahi les lieux, déclenchant des crises de panique parmi les convives. Des bombes fumigènes ! Votre adversaire était passé à l'offensive ! Une cage s'était abattue à l'emplacement du Notarangeli. C'était le piège prévu par Pumar pour capturer son ennemi s'il tentait de détacher la toile. Vous n'aviez croisé personne, ou du moins
aucune ombre.
Si vous avez le mot-code VUSANO souligné, effacez-en le soulignement.
Alliez-vous :
Voir qui a été pris au piège dans la cage, au
1193 ?
Ressortir dans les jardins, au
737 ?
Chercher quelqu'un en particulier dans la salle, au
611 ?